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Mystère …On attend parfois,
Ce que l’on ne donne pas.
On attend parfois
Comme si on ne pouvait pas
Faire le premier pas.
Mais,
Dans le regard du quidam qui te tient la porte de l’ascenseur
Dans le geste du chauffeur qui te laisse la priorité
Chez ta voisine de palier qui t’offre un café
N’importe quand, je te dis, à toute heure !
Il est là et tu devrais le surligner
Il est là, te dis-je, à ta portée !
Tu peux croiser un sourire au supermarché
Mais pour cela il faut d’abord le donner !
Le dimanche sur les sinueux chemins, à l’aventure
Lorsque tu déambules à la recherche de paix
Tu te repais de nature : assoiffé, besoin de rupture
Justifié par les heures où tu es prisonnier
Du monde urbain, du béton, des quatre murs
Il est là et tu devrais le surligner
Il est là, te dis-je, à ta portée !
Tu peux croiser un lièvre un mulot un faisan un pivert
Mais pour cela il faut d’abord avoir les yeux bien ouverts !
Lorsque les habitudes sont parfois bousculées :
Une fleur dans l’assiette en guise d’entrée
Ou un mot d’amour dans le bol au déjeuner
Des petits riens, mais amoureusement concoctés
Pas grand-chose, mais tendrement exprimés
Il est là et tu devrais le surligner
Il est là, te dis-je, à ta portée !
Tu peux croiser le bonheur, le vrai
Mais pour cela, il faut d’abord le désirer !
Mystère …
On attend parfois,
Ce que l’on ne donne pas.
On attend parfois
Comme si on ne pouvait pas
Faire le premier pas…
© 2010 -CathyM
4 commentaires -
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Le mal du siècle ne serait- ce pas la permanente ‘course contre la montre’ ? Les gens pressés, stressés, le speed dating, les formations« accélérés », les livraisons sous « 24h » les « fast-food » ????
1 commentaire -
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Né le 4 mars 1965 en Afghanistan, à Kaboul soit خالد حسینی en persan,
il réside aux Etats Unis, où sa famille a reçu l'asile depuis 1980. Khaled HOSSEINI est médecin.
Il connaît néanmoins un succès mondial dès son premier roman "Les cerfs volants de Kaboul"dont un fim éponyme est tiré en 2007 réalisé par Marc Forster.
1 commentaire -
J’aime le vent, j’aime la vieSouffle le temps sur mes envies
Brise légère, ouragan, si
Je file c’est que j’l’imite, et que j’essaime mes grains de folie…
J’aime le vent, oui
J’lui cours après et ça m’excite, il faut que ça aille vite
J’aime la pluie, j’aime la nuit
Aux étoiles le saxo dédie
Ses quelques notes de musique,
J’aime sa ballade romantique ou sa complainte mélancolique…
J’aime la pluie, oui
J’lui cours après et ça me grise, il faut du swing
J’aime la neige, J’aime les rêves
Flocons de joie tombant sans trêve
J’aime les batailles de boules d’espoir
Les mots doux, les berceuses chantées au bord du soir…
J’aime la neige, ouiJ’lui cours après et ça me grise, il faut de la glisse
J’aime le soleil, et le bonheur
Un petit bout de rayon me chauffe le cœur,
Brillent mes yeux dans les siens
Berce mes jours, anime mes nuits, éclaire demain…
J’aime le soleil, oui
J’lui cours après, et ça me grise, il faut qu’il rie
J’aime tes yeux, j’aime tes bras
Posés sur moi
Tels des papillons déploient leurs ailes
Et m’entraînent, j’aime
Et pour la première fois, je ne cours pas.
Mais, je vole, oui !
Je vole et je me dis
Faut être libre !© 2010 - CathyM
1 commentaire -
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Voici un espace où j'invite chacun des visiteurs à laisser non pas un simple commentaire, mais un texte un peu plus long s'il a envie d'exprimer ses valeurs, ses idées librement et largement.
C'est avec beaucoup de plaisir que je vous lirai et j'espère que je ne serai pas la seule !
A vous de jouer !
Je me sauve et vous laisse la place ...
20 commentaires -
Nom et adjectif du XVIIIe siècle.
Un arsouille est aussi bien un homme qu'une femme et signifie à l'origine
voyou, fripouille, bandit ou crapule.
Mais dans la bouche de mon papa qui nous traitait enfant d':
"Espèce d'arsouille ! "
tandis que nous avions fait ou dit une bêtise était un terme beaucoup plus gentil, et synonyme de
polisson, coquin, fripon !
3 commentaires
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