• Bonheur universel : 3ième galet


    Sur le chemin du bonheur, j'ai rencontré
    Pierre RABHI
    qui nous dit :
    « Tout changement implique le changement de soi car si l’être humain ne change pas lui-même, il ne pourra changer durablement le monde dont il est le responsable. »



    Il  me ravit  car selon lui l’utopie n’est pas un rêve impossible et le mouvement dont il est l’initiateur est une plateforme d’échange qui s’adresse à tous ceux qui veulent agir, cherchent des solutions concrètes ou développent des alternatives. Le mouvement crée en 2006, s’est donné comme ambition de participer à
    la construction d’une société fondée sur le bonheur d’être plutôt que sur la volonté d’avoir.

    Pour relever ce défi, Colibris s’est donné pour mission d’encourager, de relier et de valoriser les initiatives qui placent l’être humain et la nature au cœur des priorités.

    « Incarner l’utopie c’est avant tout témoigner qu’un être différent est à construire, un être de conscience et de compassion, un être qui, avec son intelligence, son imagination et ses mains rende hommage à la vie dont il est l’expression la plus élaborée, la plus subtile et la plus responsable. »



    J’ai visité le site avec bonheur car je partage les valeurs prônées et les idées défendues  par Pierre RABHI, 
    je vous propose de prendre le même chemin, celui de l’utopie,
    celui qui mène au  Pays dont parlait  René CHAR ?

    Qu’il vive !

    Ce pays n’est qu’un voeu de

    l’esprit, un contre-sépulcre.

     

    Dans mon pays, les tendres preuves du printemps et les

    oiseaux mal habillés sont préférés aux buts lointains.

    La vérité attend l’aurore à côté d’une bougie. Le verre de

    fenêtre est négligé. Qu’importe à l’attentif.

    Dans mon pays, on ne questionne pas un homme ému.

    Il n’y a pas d’ombre maligne sur la barque chavirée.

    Bonjour à peine, est inconnu dans mon pays.

    On n’emprunte que ce qui peut se rendre augmenté.

    Il y a des feuilles, beaucoup de feuilles sur les arbres de

    mon pays. Les branches sont libres de n’avoir pas de fruits.

    On ne croit pas à la bonne foi du vainqueur.

    Dans mon pays, on remercie.

     

    René Char, La Sieste blanche,

    in Les Matinaux, Gallimard, coll. « Poésie », 1969

     Voir, Lire et peut-être signer la charte ....

    « Rêvons de mots ! AVARICEIl n'y a pas de vie sans amour »
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  • Commentaires

    1
    Dimanche 11 Avril 2010 à 18:53
    A suivre.................j'aime bien l'idée!  je repasserai visiter ce site, je suis surbookée pour la semaine à venir!!!!à +
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